le Discours d’Albert Camus à l’Académie Nobel (1957)
Brèves
Publié le 26 février 2010
Théâtre
- chantier
de Ascanio Celestini Texte paru aux Editions Espaces 34,
collection Théâtre contemporain en traduction, traduit de l’Italien par Olivier
Favier Avec le soutien de la maison Antoine Vitez, Centre international de la
traduction théâtrale Mise en scène Dag Jeanneret Avec (...) Lire
Publié le 7 février 2010
Dimanche 7 février 2010 à 19h L’implosion des idéologies au tournant des années 1990 serait-il un commencement de l’histoire ? Les enjeux de la commémoration et la crispation institutionnelle autour des lieux de mémoire en pourraient bien être le signe, en Italie comme en France, quand le (...) Lire
Publié le 6 février 2010
À l’occasion de la parution de son livre La Brebis Galeuse aux éditions du Sonneur, Ascanio Celestini sera présent à Paris, à l’espace d’animation des Blancs Manteaux, dans le cadre de la Fête du livre et des cultures italiennes organisée par Leggere per. La rencontre aura lieu à 20 h 30. Elle (...) Lire
Publié le 8 janvier 2010
Nous
exigeons la suppression du ministère de l’Identité nationale et de
l’Immigration :
Promesse électorale de Nicolas Sarkozy, la création d’un
ministère chargé de l’Immigration et de "l’Identité nationale" a introduit dans
notre pays un risque d’enfermement identitaire et d’exclusion (...)Lire
Articles
10 janvier 2010, par Etty Hillesum
Dimanche
9 mars 1941
Eh bien, allons-y ! Moment pénible, barrière presque
infranchissable pour moi : vaincre mes réticences et livrer le fond de mon coeur
à un candide morceau de papier quadrillé. Les pensées sont parfois très claires
et très nettes dans ma tête, et les sentiments très profonds, mais les mettre
par écrit, non, cela ne vient pas encore. C’est essentiellement, je crois, le
fait d’un sentiment de pudeur. Grande inhibition ; je n’ose pas me livrer,
m’épancher librement, et (...) Lire l'article
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9 janvier 2010, par Rodolphe Christin
Un.
Mathilde ferma la porte à clefs. Dehors le vent soufflait dru et l’on
imaginait l’océan gronder. Gronder si fort que le bruit montait jusqu’ici. Je
n’aimerais pas être un marin au large cette nuit, dit-elle. Il faut penser à
eux. Il imaginait l’anxiété dans sa voix, neutre pourtant. Il imaginait le
passé qui pointait dans les mots. Il imaginait la tristesse, ensuite la
solitude. Il ne parvenait pas à imaginer la vie au large dans les
navires : (...) Lire l'article
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8 janvier 2010, par Bernard Deglet
Ce
jour je me souviens de la peinture au minium j’apprends que c’est une peinture
au plomb qu’on n’en trouve plus qu’au Maroc qu’avant on s’en servait aussi pour
protéger le bois des bateaux non de la rouille mais du pourrissement et des
insectes le plomb protège de tout même des rayons gamma et qu’aujourd’hui
l’artiste qui parle l’utilise pour la couleur et les coulures pour cet orange et
ce poids qu’elles ont.
Les (...) Lire l'article
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7 janvier 2010, par Guy Darol
Comme les enfants endossent des rôles, Louis Thomas Hardin se fit viking. Il portait la tenue du chasseur-poète et une âme vagabonde. L’esprit lui était venu en lisant l’Edda poétique, bréviaire de la mythologie scandinave qui veut que la femme et l’homme soient issus d’un bâton. Âgé de six ans, Louis est envoyé rejoindre son père, pasteur actif, dans le Wyoming, parmi les indiens Arapahu. Le chef de tribu qui n’ignore pas les alliances musicales de la terre et (...) Lire l'article entier
7 janvier 2010, par Lesly Hamilton
"Décédé à Münster, le 8 septembre 1999, âgé de 83 ans, Moondog emporte avec lui plus de 300 madrigaux, passacailles, musiques pour orchestres à vent, piano et orgue et environ 80 symphonies. Ce maître de la musique contemporaine qui se disait avant tout un classique est devenue une icône dans le monde des musiques éléctroniques. " Guy Darol A lire : L’enchanteur Moondog (...) Lire l'article entier
6 janvier 2010, par Anonyme
« Confession sexuelle d’un Russe du Sud, né vers 1870, de bonne famille, instruit, capable, comme beaucoup de ses compatriotes, d’analyse psychologique, et qui rédigea en français cette confession en 1912. Il faut tenir compte de ces dates pour comprendre certaines allusions politiques et sociales. » (Havelock Ellis, « Confession sexuelle d’un Russe du Sud », Études de Psychologie sexuelle, t. VI, Éd. Mercure de France, Paris, 1926.) Sachant, par vos ouvrages, que vous (...) Lire l'article entier
5 janvier 2010, par Georges Bataille
En décembre 1951 et en janvier 1952, Georges Bataille publia dans la revue Critique, qu’il dirigeait, une défense de L’Homme révolté d’Albert Camus qui venait de paraître et que André Breton et surtout Jean-Paul Sartre avaient vivement attaqué. C’est l’occasion pour Bataille de montrer non seulement que Breton et Camus ne sont nullement inconciliables, mais que tous les trois peuvent se rejoindre sur de certains points. Même de l’attaque dont L’Homme révolté vient d’être (...) Lire l'article entier
5 janvier 2010, par Denis Boyer
Cédric Peyronnet est un artiste au parcours à la fois typique et singulier. Souvent affilié à la musique industrielle, il a développé une technique et une culture qui l’ont peu à peu rapproché des démarches expérimentales de certains électroacousticiens. Il définit lui-même son travail autour de plusieurs axes : la chasse aux sons, l’écologie sonore, l’analyse de l’environnement sonore, la notion de paysage sonore et la composition électroacoustique. Nous essaierons (...)Lire l'article entier
4 janvier 2010, par Albert Camus
« Le
rôle de l’écrivain ne se sépare pas de devoirs difficiles. Par définition, il ne
peut se mettre aujourd’hui au service de ceux qui font l’histoire : il est au
service de ceux qui la subissent... »
Sire, Madame, Altesses Royales,
Mesdames, Messieurs,
En recevant la distinction dont votre libre Académie a
bien voulu m’honorer, ma gratitude était d’autant plus profonde que je mesurais
à quel point cette récompense dépassait mes mérites personnels. Tout homme et, à
plus forte raison, tout (...) Lire l'article
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4 janvier 2010, par Pierre Mikaïloff
En 1975, Jane Birkin ne reste jamais longtemps absente des écrans : Sérieux comme le plaisir, en janvier, Catherine et compagnie et La Course à l’échalote, en octobre, 7 Morts sur ordonnance, en décembre… Dans la première partie de sa carrière, elle est davantage une actrice qui chante que l’inverse. Par la suite, les choses s’équilibreront, notamment lorsqu’elle commencera à faire de la scène, mais jusqu’à Ex-fan des sixties, le matériel que lui fournira (...)Lire l'article entier